![[PGAV] Photo Gallery asbl/vzw](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKuss5jqY6WK6QPuPrcc9aXTsai5Hyq3oftVbHcn7_Grv4db_p2kgYLGaqY6J1KkvOsehwA36YV1OSNF-e3Apb6XK1f8tCK7uPOKuPQvXPKC_aYE0G8HRf8dmhR8RdSc41Uwos9mZjocc/s1600-r/images_fond_web.jpg)
Association des Photographes de Łódź - Ł. T. F.
+ Łódź de Cedric Gerbehaye.
FR: Douze photographes de la prestigieuse Association des photographes de Łódź Ł. T. F. présentent ici des images de leur ville confrontée à une évolution où s’expriment toutes les questions du futur – et d’aujourd’hui. « Łódź est la deuxième ville de Pologne, très développée culturellement, notamment avec sa célèbre Ecole de cinéma de réputation internationale et son Musée d’art moderne. Depuis 1995, Croiseregard a un contact privilégié avec l Association des Photographes de Lodz- LTF, qui est née en 1949.Voilà donc presque quinze ans que nous échangeons des expositions ; tous les deux ans, des délégations de photographes polonais et belges se rencontrent alternativement à Bruxelles et à Lodz. En mars 2009, c’est au tour de l’Association des Photographes de Lodz, LTF, de venir exposer à la Galerie Verhaeren ; ce sera notre neuvième rencontre. 2011 sera l’année de notre dixième rencontre : quel événement en perspective ! » (Vincent Verhaeren) Le photographe belge Cédric Gerbehaye expose le reportage qu’il a réalisé à Łódź en 2008. « Cédric Gerbehaye est membre de l’Agence VU. Journaliste de formation, la photographie s'est imposée à lui comme une forme d'écriture journalistique qu'il a commencé à pratiquer lors de séjours en Indonésie. En 2002 il choisit de travailler sur le conflit israélo-palestinien. Il s'agissait d'analyser l'impasse dans laquelle il s'enlisait et surtout de comprendre le cheminement d'un processus raté, le processus d'Oslo, ainsi que la déception et la révolte que cet échec a engendrées, en Israël comme en Palestine. Plus tard, il réalise de nouveaux reportages à Hébron et s'est ensuite intéressé à la crise économique et sociale qui sévit en Israël ainsi qu'à la question kurde, tant en Turquie qu'en Irak. Par l"acte photographique", il cherche à comprendre et à témoigner d'une réalité complexe, à se rapprocher de l'autre tout en informant, avec une subjectivité assumée. En 2006, Cédric Gerbehaye obtient deux récompenses au Prix Photographie Ouverte du Musée de la Photographie de Charleroi. En 2007, il participe au Joop Swart Masterclass du World Press Photo et reçoit le second Prix dans la catégorie "Jeune reporter" du Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre pour son sujet "Gaza : Pluies d'été". En 2008, son sujet « Congo in Limbo » lui vaut trois prix prestigieux : un World Press Photo, l'Olivier Rebbot Award de l’Overseas Press Club of America et l'Amnesty International Media Award. Lodz (Fabriques de l'Europe) (2008) Lodz (prononcez “Woutch”) est aujourd’hui une ville en pleine mutation, d’où émane une impression de métamorphose inachevée. On y décèle un fort désir de plaire. Les habitants accordent une importance toute particulière à l’image que se fait de leur ville le visiteur étranger. Les questions fusent comme pour se rassurer et valider le changement et le dynamisme des dernières années. Mais ce dynamisme évident n’est peut-être pas encore assez affirmé pour une jeunesse coupée du passé communiste qui hésite entre partir et rester. »
+ Łódź de Cedric Gerbehaye.
FR: Douze photographes de la prestigieuse Association des photographes de Łódź Ł. T. F. présentent ici des images de leur ville confrontée à une évolution où s’expriment toutes les questions du futur – et d’aujourd’hui. « Łódź est la deuxième ville de Pologne, très développée culturellement, notamment avec sa célèbre Ecole de cinéma de réputation internationale et son Musée d’art moderne. Depuis 1995, Croiseregard a un contact privilégié avec l Association des Photographes de Lodz- LTF, qui est née en 1949.Voilà donc presque quinze ans que nous échangeons des expositions ; tous les deux ans, des délégations de photographes polonais et belges se rencontrent alternativement à Bruxelles et à Lodz. En mars 2009, c’est au tour de l’Association des Photographes de Lodz, LTF, de venir exposer à la Galerie Verhaeren ; ce sera notre neuvième rencontre. 2011 sera l’année de notre dixième rencontre : quel événement en perspective ! » (Vincent Verhaeren) Le photographe belge Cédric Gerbehaye expose le reportage qu’il a réalisé à Łódź en 2008. « Cédric Gerbehaye est membre de l’Agence VU. Journaliste de formation, la photographie s'est imposée à lui comme une forme d'écriture journalistique qu'il a commencé à pratiquer lors de séjours en Indonésie. En 2002 il choisit de travailler sur le conflit israélo-palestinien. Il s'agissait d'analyser l'impasse dans laquelle il s'enlisait et surtout de comprendre le cheminement d'un processus raté, le processus d'Oslo, ainsi que la déception et la révolte que cet échec a engendrées, en Israël comme en Palestine. Plus tard, il réalise de nouveaux reportages à Hébron et s'est ensuite intéressé à la crise économique et sociale qui sévit en Israël ainsi qu'à la question kurde, tant en Turquie qu'en Irak. Par l"acte photographique", il cherche à comprendre et à témoigner d'une réalité complexe, à se rapprocher de l'autre tout en informant, avec une subjectivité assumée. En 2006, Cédric Gerbehaye obtient deux récompenses au Prix Photographie Ouverte du Musée de la Photographie de Charleroi. En 2007, il participe au Joop Swart Masterclass du World Press Photo et reçoit le second Prix dans la catégorie "Jeune reporter" du Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre pour son sujet "Gaza : Pluies d'été". En 2008, son sujet « Congo in Limbo » lui vaut trois prix prestigieux : un World Press Photo, l'Olivier Rebbot Award de l’Overseas Press Club of America et l'Amnesty International Media Award. Lodz (Fabriques de l'Europe) (2008) Lodz (prononcez “Woutch”) est aujourd’hui une ville en pleine mutation, d’où émane une impression de métamorphose inachevée. On y décèle un fort désir de plaire. Les habitants accordent une importance toute particulière à l’image que se fait de leur ville le visiteur étranger. Les questions fusent comme pour se rassurer et valider le changement et le dynamisme des dernières années. Mais ce dynamisme évident n’est peut-être pas encore assez affirmé pour une jeunesse coupée du passé communiste qui hésite entre partir et rester. »
